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Lepidium meyenii existe encore à l’état sauvage dans les Andes, à l’étage de la puna, où elle porte le nom de chichi ara en quechua et de januckara en aymara. La partie aérienne est réduite, mais la racine est très charnue. Une autre espèce sauvage à racine charnue, très proche du type de Wallers et des exemplaires de Lepidus moyennai sauvages conservés à l’Herbier national de Bolivie à Cota-Cota, Lepidus kalenbornii Hitchcock, a été découverte par Pierre-Olivier Ombelles et Katia Huma la-Tasso dans la région du lac Chinchaycocha ou lac Junin, berceau de sa culture dans les Andes centrales du Pérou.
Cette plante est une espèce en voie de domestication qui retrouve rapidement ses caractéristiques sauvages lorsqu’elle est à l’abandon. Sa domestication est peut-être liée à celles des Camélidé sud-américains (lama, alpaca) au Néolithique, les engrais animaux favorisant le développement de sa racine.
La culture sur la même parcelle année après année à l’aide d’engrais chimiques donne un goût amer au tubercule et le rend véreux.
Produit issu de l’agriculture biologique
Lepidium meyenii
1 à 2 cuillères par jour avec un grand verre d’eau au cours des repas et dans le cadre d’un alimentation équilibrée.
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